Là où l’internet va viiite

Au Québec, les solotrepreneurs peuvent payer environ 100$ par mois (un peu plus ou un peu moins) pour avoir une connectivité basée sur un lien de fibre optique, avec Bell, notamment.

Avec des vitesses allant de 500 Mo/s à 1,500 Mo/s (la fameuse connectivité “gigaoctet”, ici, 1,5 Go/s), c’est normalement suffisant pour que toute la famille puisse accéder à l’internet sans ralentir le débit pour les autres usagers.

Autrement dit, on s’habitue à ce niveau de service.

Mais qu’en est-il lorsqu’on voyage?

Y a-t-il des pays où la vitesse de connexion est enviable? Bien sûr et en voici 5 où les solotrepreneurs tels que vous pouvez mettre la pédale au plancher, proverbialement parlant, en matière de connectivité internet:

1. Singapour: Les taux de téléchargement et de téléchargement sont les plus rapides en Asie avec des vitesses moyennes de plus de 200 Mo/s. Ça monte en haut du gigaoctet, là-bas aussi. Naturellement, selon le prix payé.
2. Suisse: Les réseaux de télécommunication très développés et la concurrence entre les fournisseurs de services internet locaux assurent des vitesses élevées et fiables.
3. Les Pays-Bas: Le pays est réputé pour ses infrastructures de télécommunications modernes et performantes, offrant des vitesses moyennes de plus de 150 Mbps.
4. Corée du Sud: Le pays dispose d’un système de télécommunication très développé avec des vitesses moyennes de plus de 120 Mbps. Si vous résidez sur un campus de LG ou de Samsung, par exemple, attendez-vous à du gigaoctet et plus. Les consultants qui se déplacent là-bas pour travailler avec ces géants ne sont pas déçus des vitesses de connexion internet.
5. Hong Kong: Les réseaux de télécommunication de haute qualité et la concurrence entre les fournisseurs de services internet garantissent des vitesses stables et rapides dans la région.

Voyez-vous les similitudes?

Ça prend un pays avec des infrastructures et de la vraie concurrence pour espérer obtenir de hautes vitesses d’accès à des prix corrects.

Au Canada, nous avons des vitesses acceptables mais c’est plus cher ici que dans plusieurs autres pays où, incidemment, les connexions sont bien plus rapides, pour le même prix. Probablement parce que justement, nous n’avons pas assez de VRAIE concurrence.

D’ailleurs, aussi bien le CRTC que le Bureau de la concurrence devraient revoir leurs positions manifestement insuffisantes pour respecter l’esprit de leur mission.

Évitez les ondes électromagnétiques pulsées

À chaque occasion où vous le pouvez, évitez de vous exposer inutilement aux ondes WiFi, 4G LTE ou 5G.

Pourquoi?

Parce que votre biologie n’aime pas devoir être traversée de manière permanente et cumulée, entre de nombreuses sources de rayonnement électromagnétique pulsé.

Appliquez le principe de précaution, le plus élémentaire, en recherchant des connexions via des fils Ethernet qui, justement, vous permettent de vous connecter à 1 Go/s, sans aucune difficulté.

Une once de prudence vaut mieux que des litres de regrets, pour ainsi dire.

Travailler hors-ligne, lorsque c’est possible

Il y a aussi ces habitudes que vous pouvez développer de travailler hors-ligne, via un ou plusieurs logiciels qui vous offrent de pouvoir avancer votre boulot, en tout ou en partie, sans nécessiter de connectivité internet.

Ultra-pratique pour avoir ses idées, ses plans, ses textes, ses images et autres médias prêts pour le moment où vous pourrez accéder à une connexion.

Il n’est d’ailleurs pas rare qu’en transit, les solotrepreneurs en profitent pour faire leurs textes et être prêts à envoyer leurs documents finalisés dès qu’ils ont accès à une connexion internet assez fiable pour les transférer.

En ce sens, faites l’inventaire de vos logiciels pouvant fonctionner hors-ligne et assurez-vous qu’ils sont fonctionnels, avant de partir.